Articles

Affichage des articles associés au libellé Poutine

La guerre, un moment de la négociation

Image
War is just a shot away Je ré-écoutais récemment l'une des chansons phare des Rolling Stones, Gimme Shelter, écrite à la fin des 60s et qui évoque la violence de l'époque, marquée en l'occurrence par la guerre du Vietnam. La chanson répète "War, children, yeah, it's just a shot away" (la guerre, les enfants, ce n'est qu'à une portée de tir). A écouter ici Cette entrée en matière pour dire que, lorsque j'écoute les éructations du Donald, je trouve que la chanson des Stones résonne de façon très actuelle. Car s'il arrive à ses fins avec la complicité d'Elon Musk et pour la plus grande satisfaction de l'ours Vladimir, il va falloir sérieusement revoir nos plans de vie. Et Emmanuel Macron n'aura jamais eu autant raison de parler de "mort cérébrale" de l'OTAN. Avez-vous vu l'interview insensée de Vladimir par cet idiot de Tucker Carlson ? J'ai eu l'impression plusieurs fois de voir Vladimir se lécher les babines

Et si nous restions optimistes ?

Image
Vive l'automne Afin de garder la forme, nous pouvons regarder ces courtes vidéos,  extraits d'une interview de René Barjavel datant du milieu des années 70, dans le contexte du premier choc pétrolier. Nous pouvons aussi lire ou relire Ravage , le bouquin de Barjavel dont il est question. Depuis, nous avons eu Yves Coche t, qui n'est pas triste non plus même s'il peut faire réfléchir. Depuis beaucoup de collapsologues prennent la parole, comme l'ineffable  Aurélien Barrau , grand bavard et donneur de leçon devant l'éternel, imbuvable.  Et finir par le Blues de la Fin du Monde , du très regretté Nino Ferrer. Voilà qui résume bien l'ambiance, non ? Il fallait bien laisser passer ce mois de "rentrée" avant d'oser reprendre le cours de ces chroniques. Après l'été accablant que nous avons traversé, je n'avais pas envie de réagir à chaud ! D'autant plus que nous avions droit à un festival d'invraisemblables échanges. Les buzzeurs étaie

Le GIEC, Poutine et la campagne électorale : il va faire chaud

Image
Le réchauffement climatique : toujours un problème de com' Le GIEC vient de sortir un nouveau rapport et cette fois-ci, ce n'est pas Lionel Messi au PSG qui lui fait de l'ombre, mais Vladimir Poutine lui-même, tous chars et toutes mitrailleuses déployées, sans parler des menaces atomiques aboyées à chaque occasion. La communication du GIEC, c'est comme le réchauffement climatique, il y a toujours quelqu'un pour montrer qu'il y a plus urgent, plus immédiat. Je me pose d'ailleurs des questions sur la stratégie de communication du GIEC. Certes la parole scientifique peut penser qu'elle doit pouvoir s'imposer d'elle-même. Un peu court. Si les gens les plus intelligents devaient être les plus visibles, nous verrions beaucoup moins de monde sur les plateaux TV.  Déjà les candidats à notre élection présidentielle ne traitaient pas le sujet, même pas les écologistes en fait. Ceux-là veulent tellement traiter tout à la fois pour réussir leur synthèse asso

Ça va bien se passer vous croyez ?

Image
Ça ne se passe pas bien La publication des Fossoyeurs met sur la table un sujet consternant. Je ne peux pas m'empêcher, depuis le début de cette histoire, d'écouter les cris des accusateurs avec un mélange d'intérêt et de scepticisme. Intérêt pour le sujet, scepticisme quant à l'exploitation qui en est faite. Je n'ai pas lu le livre en entier, juste les extraits "feuilletables" sur le site de la FNAC. Je relève que les points mentionnés dans ces extraits sont systématiquement ceux mentionnés dans les médias. Je me demande alors si très nombreux sont les journalistes qui n'ont pas lu non plus le livre.  Je relève que l'auteur déclare d'emblée qu'il n'a pas pour objet de jeter l'anathème sur tout un secteur. Rien à craindre, d'autres que lui vont s'en charger. En matière de communication, seul angle que je peux décemment prendre pour traiter un sujet aussi complexe, je suis tombé sur cette interview sur BFM de la patronne de